Sinopsys+bande annonceLa bande annonce m'inspirait pas trop mais c'est trompeur!
Bon, ca va de soit, Non-amateur du Rock s'abstenir Very Happy Pour ceux qui aime, enjoy de BO =)
En gros c'est un film sur l'engouement et la passion des gens pour le Rock'n'Roll envers et contre tout (loi compris), sur l'apprentissage de la vie, sur le pouvoir réunificateur de la musique, etc.
Alors OUI, c'est plein de bons sentiments et d'humanismes. Mais je trouve que ca fait du bien de temps en temps entre deux films ou la moyenne des mort et des 20 ou 30. D'autant plus que même si c'est romancé, ca reste dans un contexte réel, et ca donne au film un côté.... "vrai" et sincère.
Personnellement, c'est un film qui m'a touché. J'en suis ressortie entre plus légère et légèrement déprimée parce que ce que montre le film semble avoir en partie disparu. C'est un film "léger" et drôle.
Peut-être un peu longuet pour certain.
Bref, si vous avez l'occasion et que ca vous tente de passer un bon moment sans sang et sans violence gratuite, je vous le conseille! Ne serait-ce que pour la musique et les personnages plutôt haut en couleur! Smile
Si vous allez le voir, dites moi ce que vous en avez pensé Wink
Enjoy Rock'n'Roll! Very Happy
P.S pour les filles: Carck (pas Kent non >_< ), un des héros, est plus que mignon ;p Le petit côté ténébreux avec deux mèches devant les yeux.. *miam* :p
C'est le premier long métrage de Neill Blomkamp, cinéaste Sud africain de 30 ans, qui à la suite de l'échec de Halo, et avec Peter Jackson, monte son scénario, Peter Jackson étant son producteur. Et c'est là que le film prend une autre dimension: Neil reçoit le chèque, Peter visionne les DVD journaliers de l'avancement, en laissant carte blanche au réalisateur. Dedans, des acteurs méconnus, des plans peut vus, et une caméra de reportage quasi permanente, hormis quelques menus changements.
Synops':
Le film, tourné comme un reportage sur Wikus van der Merwe (Sharlto Copley), apparemment mort ou disparu, selon les dires explicites des "témoins", raconte comment, il y a vingt ans, un vaisseau-mère alien arrive au dessus de Johannesburg, capitale Sud africaine, et stoppe toute activité. Le vaisseau semble mort. Après quelques temps, les autorités pénètrent le vaisseau pour y trouver une race alien de déperdition totale, au seuil de la mort. L'Humanité étant ce qu'elle est, les aliens, appellés "Prawns" [ndrl: crevettes] sont ramenés sur Terre afin d'être soignés. Malheureusement, cela fait 20 ans qu'ils sont parqués dans ce qui est très rapidement devenu un bidonville, et les habitants ne veulent plus les voir. Wikus van der Merwe est chargé de leur faire signer les notices d’éviction, caméra le suivant…
Avis:
*prend son bouclier anti émeute*
En plus d'être un premier long métrage dont le scénar est ficellé comme le canard de Julia Child, c'est une sacrée entrée que celle de Neil dans le monde du film +30min. Les acteurs ont un jeu qui ferait retourner à l'école quelqu'un tel que ce Ratcliff *lève le bouclier*. Les prises de vue, malgré l'absence de caméra embarquée lors des scènes incluant exclusivement des E.T, sont réellement agréables et sans perdre le jus durant les 1heure 52minutes de baffes du film. Car baffe c'est. Au delà du "conflit", et j'appuie les guillemets à l'égard de ce mot, s'étend une critique très acerbe de l'apartheid qui a eut lieu dans le pays sus utilisé dans le film. Au final, l'Homme, qui se dit si civilisé est incapable de cohabiter avec des personnes différentes.
Mais là où ce film est un régal c'est cette caméra d'épaule, car bien que ça soit la mode comme dans Clover field, à aucun moment la caméra ne prend un coup et s'en tire sans dommage [ndlr: la caméra de Cloverfield survit à un crash d'hélico...]!
Sans en dévoiler plus, car cela serait un véritable spoil tant le scénario lui aussi mets des baffes, casse les certitudes, les moments bien juteux et gores y sont, tel que Wikus s'arrachant les ongles des doigts... Brrrr.
A voir, un must-see du moment, d'autant qu'une qualité de film comme ça n'est pas courante dans les nouveaux venus du cinéma!
The ugly TruthDe Robert Luketic, une romance vue de l'oeil d'un homme, qui ne perd pas de charme féminin sans occulter l'humour caustique des mâles en ruth.
Synops':Abby Richter (Katherine Heigl), productrice d'une chaîne télévisuelle, célibataire et entièrement névrosée, fait l'improbable rencontre de Mike Chadway (Gerard Butler), animateur télé de l'émission "The ugly truth" - émission des plus étrange traitant des relations hommes-femmes -, qui vient d'être engagé dans sa chaîne, l'audimate étant en chute libre et son émission terriblement regardée. Rebutant et pourtant il fera réviser tous les préjugés d'Abby sur les hommes et la relation qui les lient dans l'amour... ou juste le sexe.
CritiqueAvant de réellement lire le synop's officiel, c'est par pure curiosité que je me suis engouffré avec un partenaire du sexe opposé [l'intersubjectivité, de Guillebaude pour les ignards non philosophes, permettant une objectivité plus certaine] dans la salle obscure de cinéma pour le film. A vrai dire, après le charisme de Gerard Butler dans 300, mesdames messieurs on ne bavent plus, le voir dans une comédie romantique a piqué au fer rouge et à la batte ma cinéphilie. Et, oh, quelle surprise, ce qui semblait être un nanard en puissance avec un jeu digne de Desperate Housewise est une excellente alternative à "les hommes viennent de mars et les femmes de venus"! Les personnages sont certes, pour certains, clichés, mais leur rôles ainsi que leurs aventures (de jambes en l'air... ou pas) rend tout son charme au film. La musique y est aussi jolie à écouter que le décolleté plongeant de Heigl dans cette danse latino, ou le sourire charmeur de Butler qui casse son image de gros dur décapiteur héroïque spartiate.
Un film valant la peine d'être vu, en couple, ça promet des fous rire, seul, ça permet de rire... seul et c'est pas mal non plus! A plusieurs... on partage!
A bon entendeur...
Cast:Mike Chadway - Gerard Butler
Abby Ritcher - Katherine Heigl
Colin - Eric Winter
Stuart - Nick Searcy
Réal:Robert Luketic
Durée: 1h36